Depuis le printemps, cette zone à la végétalisation invasive et peu accueillante, a subi une réelle transformation. A l’initiative des agents des espaces verts, de petits travaux de réaménagement et de végétalisation ont été réalisés afin de rendre ce lieu de détente plus attractif. « C’est un petit projet pensé et réalisé entièrement en régie et désormais apprécié de tous. Parents, enfants, habitants du quartier s’y retrouvent pour se reposer et passer du bon temps », confie Pierre Lesage, responsable des espaces verts.
Des plantes aromatiques et un coin repos autour des jeux d’enfants
L’aire de jeux jouxte désormais un espace bien délimité par un jardin aromatique et un espace détente matérialisé par deux tables de pique-nique et des bancs disposés sous un gros mûrier platane. « Au printemps, les enfants pourront tranquillement goûter et déguster une framboise cueillie dans le potager à l’ombre de l’arbre », imagine Pierre Lesage. Une allée centrale guide les visiteurs vers le carré potager d’où les odeurs des plantes se répandent. A chaque saison, la végétation évolue et les essences se découvrent. Thym, menthe, lavande, fenouil, sauge, cardamone, framboise, romarin, ciboulette… à vous de découvrir et de faire découvrir à vos enfants les herbes de Provence et baies du potager ! Une initiative qui pourrait s’étendre bientôt à d’autres espaces urbains. À suivre…
6, c’est le nombre d’aires de jeux publiques répandues dans les différents quartiers de la ville :
• Le Jardin des Enfants d’Izieu, allées d’Estienne D’Orves (2 zones : « petits » 1- 8 ans et « grands » 2-12 ans)
• Le Square Cavet (2-6 ans)
• L’Huide (2-12 ans)
• Le Tennis du Rosaire (1-10 ans)
• La Plage de Portissol (2 zones « petits » 2- 5 ans et « grands » 5-12 ans)
• Le Quai Wilson (3-12 ans)
Le saviez-vous ?
Les panonceaux indiquant le nom des plantes seront bientôt remplacés par des panneaux en bois réalisés par le service communication et le Fab Lab du centre-ville. En plus d’être esthétique, cette solution est durable puisqu’elle permet également à la municipalité de réaliser des économies, en fabriquant les panneaux en interne et en utilisant des chutes de bois recyclées.
Retrouvez cet article dans le Mieux Vivre n°294 de janvier 2024.
