1. Jean-François Zygel, vous allez vous produire au Théâtre Galli le 17 novembre prochain pour un spectacle intitulé « Images musicales de Sanary-sur-Mer ». A quoi le public peut-il s’attendre ?
À un concert pas comme les autres, puisque ce récital de piano sera en quelque sorte une grande promenade musicale dans Sanary ! Voyez-vous, dans ma tête tout se transforme instantanément en musique : une émotion, un paysage, un monument, une sensation… Alors en visitant Sanary, je vais emmagasiner ce que j’aurai vu, ce que j’aurai ressenti au cours de mes promenades, les rencontres que j’aurai faites, etc. Et c’est tout cela qui va nourrir mon récital du jeudi 17 novembre, sans compter bien sûr le moment présent, la vibration particulière de la salle et du public…
2. Est-ce la première fois que vous visitez Sanary ?
Oh non ! Je m’y suis même déjà produit il y a quelques années. Et j’ai toujours le sentiment, lorsque je suis à Sanary, d’une bulle hors du temps, d’une bulle de bien-être, de douceur et d’authenticité. Sanary a son identité bien à elle, et je suis vraiment très heureux de rendre hommage à cette si jolie cité par ce concert qui lui est entièrement dédié.
3. Quels sont vos prochains projets ?
Eh bien, je repars bientôt vers la Philharmonie du Luxembourg, l’une de mes résidences d’artiste cette saison, avant de retrouver prochainement mes deux autres points d’ancrage que sont La Seine Musicale et l’Orchestre national du Capitole de Toulouse. À la télévision, je poursuis sur France 4 et sur France 5 mes deux collections (« Entre duel et duo » et « Les Clefs de l’orchestre »), avec par exemple le 19 novembre prochain, en première partie de soirée, une Clef de l’orchestre inédite consacrée aux grandes ouvertures d’opéra de Mozart. Et puis un tout nouveau podcast pour France Inter, « Bémol et Compagnie », qui sera en ligne le mois prochain.